J’ai toujours considéré le tourisme culturel une vérification « sur le champ » de ce qu’on historiquement apprend sur les livres. Ce tourisme particulier devrait par conséquent avoir des facilitations et ètre pris en considération par les Tour opérators. Mais nous constatons que cette activité est en crise et le Pays, l’Italie, qui dispose de la moitié de tous les biens culturels du monde est classifié à la 28° place, c’est-à-dire parmi les derniers.
Au contraire le tourisme « à bouffer » vient privilégié. On donne de l’argent pour des films que personne ne verra jamais, pour des livres que personne ne lira jamais. En outre sur cette honte Presse et Télévision manipulent l’information.
Ma tentative de donner un espoir à cette activité culturelle est sans doute difficile mais je réçoi bien des sollicitations à ce but de còté particulièrement d’enseignants et d’étudiants qui aimeraient des voyages annuels de classes entières lycéens et universitaires.
Je rendrai publique ces réquèts au but de favoriser quelque initiative.
A ce propos je constate que la Russie est le Pays plus avancé en matière de tourisme culturel. On a ouvert en Russie plusieurs possibilités de travail intellectuel particulièrement pour les femmes (hostess de musée, enseignants etc.)chez les musées de Saint- Pétersbourg et de Moscou. J’espère que l’exemple de la Russie puisse ètre suivi par d’autres Pays.
A ce but j’offre l’hospitalité de mon web-site à tous le Tour opérators qui désirent ètre mieux connus dans le monde intellectuel.
Cent cinquante mille étudiants et enseignants visitent chaque année mon web-site et sont tous intéressés à cette qualité de tourisme.
Le tourisme culturel aurait chez tous les Pays la même puissance du pétrole mais exige une classe politique d’haute niveau.
Archive for the ‘culture’ Category
Pour un tourisme culturel
Saturday, February 19th, 2011700 mille livres
Friday, February 18th, 2011700 mille livres philosophie lettres histoire et théâtre-poésie déchargés par étudiants Lycée classique et Université pour bibliographie dans thèses de licence et doctorats.
Nouvel Humanisme et Morale de Sartre
Thursday, February 17th, 2011Nous avons dit que la recherche de nouvelles valeurs était implicite dans le nouvel humanisme. Tombées toutes le valeurs, l’homme ne pouvait pas créer soi-même si non en créant de nouvelles valeurs. Il a été en effet par ce but que nous avons développé nòtre recherche publiée dans ’79. Même en constatant que, sans en avoir eu la précise intention, nous avions introduit en Italie le nouvel humanisme entendu, comment nous avons dit, telle que recherche de nouvelles valeurs, nous avons dù constater, en même temps, que la recherche était inachevée. Le Temple de Bramante,que nous avions édifié, n’avait pas la coupole. La liberté avait exposé ses variées expressions mais pas une synthèse. Ou, mieux, une synthèse morale. Et voilà que , telle qu’une force du destin, paraient , quelques années après, le « cahiers » et les « carnets » posthumes de Sartre qui déclarent la liberté la seule et unique valeur de base avec laquelle toutes les autres valeurs doivent se comparer. Ils ont été nécessaires huit ans de travail pour donner une forme organique aux milliers de notes éparpillées sartriens, dont la synthèse nous avons mis « online » dans les années ’90.
Aujourd’hui le jumelage « new humanism and Sartre’s moral » est devenu un « marque de fabrique »du notre web-site que les moteurs de recherche, les « directories » et aussi les registres des « domains » ont divulgué dans toute le monde, y compris la Chine et l’Indie.
Après la chute
Thursday, February 17th, 2011Il y a un autre aspect du nouvel humanisme qui peut paraître nous avons oublié et qui ,au contraire, a été , dans les premières années ’70, à la base de nos recherches. La chute de l’homme n’a été seulement la crise du positivisme et de toutes les valeurs absolues mais, si l’on a le courage d’examiner l’entière histoire du monde, c’est la chute dans la transcendance et le nouvel humanisme ne serait que la remonte de l’homme pour reconquérir sa propre humanité.
Ce thème-ci a été la base de ma thèse pour ma licence ès lettres dont nous avons mis « online » un extrait avec le titre originaire « L’enfance dévoilée ».
Qu’est-ce que le nouvel humanisme?
Thursday, February 17th, 2011L’expression a été créée dans ’46 par Ferdinand Alquié en relevant que l’homme de la liberté créé par les philosophies irrationalistes se posait contre l’homme de la raison ainsi entendue par la philosophie classique en obligeant la « raison » à une, même si noble, solitude. Mais Alquié va au-delà. Cette irrationalisme bien divulgué donne la lumière à un « nouvel humanisme » qui « mieux s’adapte à la culture de notre époque ». C’est aussi vraie que Heidegger avait déclaré que l’irrationalisme ne nie pas la raison mais en recherche l’essence. C’est aussi vraie, cependant, que Sartre avait déclaré que « existence,choix et liberté sont synonymes »et que « l’existentialisme est un humanisme » en donnant à cet « humanisme » la même signification que Alquié avait donné au « nouvel humanisme ». En effet, par Sartre, l’homme, tombées toutes les valeurs, était resté seul et, « damné à ètre libre »,devait lui-même se créer comme homme et créer de nouvelles valeurs. Le premier et grand divulgateur de l’expression créée par Alquié a été , dans ’56, Gaètan Picon dans son « Panorama des idées contemporaines. Etant donné l’intérèt démontré par bibliothèques, Universités et Lycées, il a été nécessaire faire une nouvelle édition dans ’68.
Le nouvel humanisme était ainsi devenu la culture de notre époque.
Scenarios photographiques pour étudiants,enseignants et hommes de culture
Thursday, February 17th, 2011Je suis en train de réaliser des scenarios photographiques comme prologues à conferences sur les sujets de mes livres pour étudiants, enseignants et hommes de culture. Les premières quatre scenarios sont déjà “online” et peuvent être vus sur Youtube et sur autres web-sites similaires.
Ces quatre scenarios sont des prologues respectivement des livres suivants :
- Infanzia svelata
- Nuovo Umanesimo
- Appendice al Nuovo Umanesimo
- La morale di Sartre
Dès que possible j’enverrai “online” des scenarios pour:
- Génération trahie
- Naissance de la morale
et deux pieces de théàtre-poësie.
Au lieu des conferences, à ces prologues je ferai suivre la lecture de poèmes comme une vraie et propre representation.
Aussi, dès qu’il nous sera possible, des scenarios historiques suivront tells que prologues aux histories écrites dans six livres de “Le réfus de l’hérétique” .
Notre but est de divulgaire le plus possible la culture de notre époque, qui est la base culturelle pour Licées et Universités.
J’ai téorisé le nouvel humanisme et la morale de Sartre. J’ai découvert le nouvel moteur de l’Histoire en le identifiant dans le réfus de l’hérétique après les anciennes interprétations rationalistes.
Enfin je découvre dans la génération trahie le commencement de l’Histoire du dernier demi-siècle.
Je pense ça pour l’Italie mais un évèque du Nebrasca a découvert que tous les Pays (du moins ceux occidentaux) ont une génération trahie. Par conséquent la règle peut devenir universelle.
Synthèse des sujets culturels divulgués dans le monde par mon web-site
Thursday, February 17th, 2011Cent cinquante mille contacts chaque année par étudiants et enseignants lycéens et universitaires du monde entier pour trois messages sur l’ existence et l’Histoire soutenues par dix huit livres littéraires et historiques ,poétiques et narratives avec photo-books, photo-sceneries, communications et blogs et aussi une « permanent gallery of art ». Cinq cent mille files déchargés pendant les derniers quatre ans. Les trois messages peuvent ètre exprimés comme suit.
- Le désespoir de la liberté comme sens et moteur de l’existence individuelle soutenue par cinq livres tels que Nouvel Humanisme et Morale de Sartre, appendice sur les Lumières avec traduction de l’ »Esquisse » et Enfance dévoilée.
- Le refus de l’hérétique (/le contraire du cogito cartésien ) comme sens et moteur de l’Histoire soutenu par six livres d’histoire italienne.
- La génération trahie comme commencement de l’histoire de notre époque, et l’on ne voit pas la conclusion, soutenue par cinq œuvres de théàtre-poèsie et par deux œuvres narratives.
- Le surréalisme existentiel est la base culturelle de la « gallery ».
C’est ça la culture de notre époque dont la nouvelle génération devra se nourrir. C’est ça le web-site qui garde et divulgue cette culture entre étudiants et enseignants d’outre que cent Etats du monde entier.
Ce-ci le web-site: www.études-augias.com
du Centre Etudes Nouvel Humanisme
Giovanna et Michel Augias
Milan
Naissance de l’essai et du scénario photographiques
Thursday, February 17th, 2011L’essai et le scénario photographiques sont nés de la constatation que le cinéma industriel s’est tellement développé qu’il n’a plus laissé aucun espace à ce lointain cinéma que les années ’30 avaient nommé septième art. La même chose s’est passée en littérature. Le ainsi dit « best-seller » héritier de l’ancien feuilleton ou de l’italien « roman d’appendix », a enterré le roman d’haute qualité. Dans ce cas l’espace d’haute niveau est occupé par l’essais littéraire, philosophique, historique et par le poëme ethique-historique au but de nourrire le théâtre-poësie. Par conséquent à la chute du cinéma de qualité on peut remédier par l’essai et le scénario photographiques qui peuvent représenter, en effet, des essais culturels et des poëmes avec des légendes en plusieurs langues au but d’en accroître la divulgation. Le public des lecteurs et des spectateurs sérà bien sûr plus limité que ce sous-culturé du cinéma industriel et des « best-sellers » mais, enfin, il faudra donner des textes académiques aux étudiants, aux enseignants et à touts ceux qui désirent connaître la culture de sa propre époque. Au contraire on dévrà fermer les écoles et toutes les associations et fondations culturelles. L’académie, par conséquent, même si en main de minorités, sérà obligé de s’imposer, étant qu’il existera toujours le talent humain, dont le but c’est le progrès de l’humanité.
“CONTRO” histoire d’Ugo Ciappina bandit et martyr
Thursday, February 17th, 2011Quelques universités américaines et sud-africaines ont découvert, avec ma grande surprise, un des mes livres publié à Milan il y a quarant’ans, c’est à dire en 1968. Pas seulement, mais elles ont réussi, j’en sais pas comment, à avoir en main une copie, l’ont réimprimée et, même si écrit en italien, l’ont mise à disposition des étudiants chez leures bibliothèques et aussi chez les deux plus grandes bibliothèques d’Amérique, celle civique de New York et celle du Congrés Américain de Washington. Les universités qui ont découvert mon livre et l’ont réimprimé sont: - la Brown University de Providence (Rode Island) - la Princeton University de Princeton, N.J. (New Jersey) – l’UNISA (University of South Africa) de Prétoria (capitale du Sud Africa). En même temps l’université du Michigan a découvert un autre livre, pas écrit par moi mais qui parlait de moi, publié lui aussi à Milan dans le lointaine 1982. Le livre, au titre « Nel nome di Matteotti » (au nom de Matteotti) parlait de la Résistence italienne et, en particulier, des « Brigades Matteotti » et je étais cité comme un des vice-commandants. Lui aussi a été réimprimé et mis à disposition des étudiants chez la bibliothèque de l’université. Le fait que l’Amérique est attentive aussi à des livres en langue italienne n’est pas une surprise étant donné que mes livres sont déchargés du mon Web-Site en Amérique et en Italie en égale mésure. Je dois constater, en propos, que l’Amérique veut gagner la primauté dans le monde dans la divulgation de la culture, d’antan réservée à l’Europe et, en particulier, à la France qui, à présent s’est arrêtée au point qu’elle ne s’est aperçue du seul essais exhaustif sur la morale de Sartre écrit par moi et déchargé du mon Site par tout le planet, y comprise la Chine, en mésure d’environ cent mille copies. En Chine j’ai ouvert un débat (via Internet) sur les analogies entre Sartre et Confucius. Les portugais ont traduit ce débat. A mon avis, l’Europe s’est assise et l’Amérique, au contraire, s’est mise à galoper en dépassant les obstacles de temps et de langue. Il reste à expliquer l’intérêt culturel qui a porté à la découverte de ces livres mais, en particulier, le moyenne avec lequel on a réussi à en avoir la disponibilité matérielle. Une explication possibiliste peut être réservée au livre sur les « Brigades Matteotti ». L’Université du Michigan était évidemment intéressée à la Résistence en Italie et, dans le « World-cat » a trouvé quelques textes entre lesquels celui sur le « Brigate Matteotti ». C’est inexplicable, au contraire, le moyenne par lequel on a réussi à découvrir mon livre « Contro » et en avoir la disponibilité. J’ai le dévoir de remercier pour l’évidente appréciation, réçû après presque démi siècle étant donné que le livre a été réimprimé et mis à disposition des étudiants. Je dois à ce point préciser que le livre conte un histoire réelle, la rapine de rue Osoppo, une de plus grandes rapines du siècle. L’histoire est vraie et en même temps rocambolesque et rocambolesque est aussi l’histoire même du livre. Si l’on doit faire un film on dévrait conter deux histoires en même temps, l’histoire du livre et l’histoire contée par le livre. Il faut pourtant rappeler en synthèse les vicissitudes de ce texte. Le titre de mon livre est « Contro » (« Contre ») et, en origine, il avait comme sous-titre: « histoire d’Ugo Ciappina, bandit et martyr ». Le livre conte l’histoire de la rapine de rue Osoppo qui, à cette époque, était considérée une de plus grandes rapines du siècle. Le fait s’est vérifié dans les premiers mois du 1958. Les auteurs furent bientôt arrêtés et le procès eût lieu dans l’automne de la même année. Moi, je fus tiré au sort comme juge populaire. Ce fut de cette façon que je pus connaître les faits et, conclû le procès, je décidai d’en faire un livre. Mais le Président du tribunal (dont le nom était Gustavo), dès qu’il en vint à connaissance, fit soudain opposition. Dévant le manuscrit, il voulut le lire et le corriger. il était vraiment préoccupé. Je le voyais en proie de la peur. En effet, l’idéateur ou, comme on disait « la tête », de la rapine se servait de la « Mala » milanaise pour faire une révolte personnelle et en même temps une vengeance politique contre le régime catholique-communiste qui dominait l’Italie après 18 Avril 1948. Ciappina avait été dans la Résistence, avait été torturé par les Allemands dans la prison de « San Vittore » à Milan, avait perdu le travail parce que, comme membre de la commission des travailleurs de l’usine tel que socialiste de la Résistence, il était malvu par le patron, les catholiques et les communistes. Tombé en misère, il était dévenu proie d’un faux révolutionnaire qui avait fait l’infiltrat avant au service des Allemands et après au service des catholique-communistes du régime. Quand il découvra la trompérie, il avait dû constater que le régime avait sauvé à l’étranger l’infiltrat et en même temps mis lui sous étroite surveillance. Ce fut ainsi que Ciappina se trouva tout seul dans la « Mala » a étudier sa révolte et sa vengeance. Pratiquement il étudiait un assaut au ciel. A ce point il faut spécifier la situation de la « Mala ». Cette-ci, pour sa tradition, avait son code qu’elle respectait et qui consistait, en effet, dans une réciproque tolérance, entre certains limites, entre Mala et Police. Au dessus de ces limites, elle devenait sans limites l’action de la police. La rapine et sa « tête » étaient vraiment au dessus des limites et ça aurait ménacé l’existence même de la « Mala ». Le notable de la « Mala », dit le « professeur » avait compris les intentions de Ciappina et s’était battû pour ne faire pas la rapine. Il voyait la fin de tout. Quand il se rendit compte que tout était inutile, il se fit arrêter et, en prison, il se penda. Par conséquent, aussi le Président Gustavo ne voulait pas que les motivations de Ciappina fussent connues par l’opinion publique. La rapine, aux yeux du publique ne dévait être qu’une rapine et ne dévait exister aucune motivation politique. La Presse du Régime était aux ordres de la magistrature et la déposition de Ciappina fut ignorée. Le Président Gustavo avait vraiment peur pour sa carrière et voulait empêcher que la vérité apparaisse dans un livre. Il devint obsessif avec moi et voulait continuellement lire et corriger mon manuscrit. Le tableau historique, dans lequel s’était vérifié le fait, fut entièrement biffé, les noms devaient être imaginaires et aussi le fait devait être imaginaire. Ugo Ciappina devint Guido Festa, la rue Osoppo devint rue “dei Pardi” et ainsi fut pour tous les personnages. Cet incessant va-et-vient dura dix années. En même temps la peur éloigna même les éditeurs. En fin, en 1968, il advint un fait étrange. Un éditeur malhonnête qui, comme tous les autres, avait en main mon manuscrit, l’avait fait traduire en patois milanaise et réduire pour le théâtre sans, naturellement, implications politiques. Je fis intervenir un avocat qui arrêta la réprésentation et, en même temps, me signala à un petit éditeur courageux qui édita le livre. Par conséquent, le Président Gustavo s’alarma et, quelques mois après, deux officiers des « carabinieri », mais en vestons civiles, me firent visite. Quand je les rassurai que les ventes étaient très faibles, que j’avais réjoint les fameuses quatorze lecteurs de Manzoni, ils devinrent très gentilles et voulurent, par mon téléphone, rendre tranquille immédiatement même le Président Guatavo, qui, évidemment, attendait avec anxiété dans son bureau. Ce fut ainsi que l’aventure de ce livre eut fin. Ce fut ainsi qu’elle finit à ce temps-là. Parce que elle continue aujourd’hui encore, après quarant’ans, en Amérique et en Sud-Afrique. Je voudrais, à ce point, que les bibliothèques adjoindraient, au livre qu’elles ont réimprimé, ce blog-ci, outre le tableau historique de l’après-guère que j’ai envoyé « online » il y a quelques années (ma communication n.10) et qui a été déjà déchargé à dizaines de milliers de copies. Aussi pour la raison, comme déjà dit, que en origine le tableau historique était partie du manuscrit.
“Au nom de Matteotti” et l’Université du Michigan
Thursday, February 17th, 2011En même temps the « Contro », un de mes livres publié en 1968 à Milan, l’Université du Michigan a redécouvré un livre sur les Brigades Matteotti de la Résistence italienne qui citait mon nom tel qu’un des vice-comandants. Cette Université a pû avoir en main une copie qu’elle a généreusement rééditée et mise dans sa bibliothèque à disposition des étudiants. Etant donné que je suis un de très peu survécus des « Brigades Matteotti », j’ai le dévoir de donner une dernière témoignage pour l’histoire de cettes brigades. Dans ma réécriture historique de l’après-guère italien contée par ma Communication n.10, qu’on peut déchargé d’après mon Web-site et qui a été déchargée en dizaines de milliers de copies dans tout le planète, j’ai conté la désintégration du parti socialiste effectuée, complice Nenni, par les catholiques et les communistes qui, après le 18 Avril 1948, firent naître le régime catholique-communiste. Au course de cette désintégration les « matteottini » furent les plus frappés pour la raison qu’ils, au nom du martyr et de Philippe Turati, représentaient la pureté du socialisme, sur l’exemple de l’Angleterre et des Pays de l’Europe du Nord. La plus-part, après le 18 Avril, s’est divisé en filo-catholiques et en filo-communistes. Les « matteottini », socialistes authentiques furent mis à la marge et éloignés. On commençà en mettant à la marge, de façon misérable, le fondateur et commandant général des Brigades Matteotti Corrado Bonfantini que je aimai parce que j’étais son militaire estafette. Corrado fut frappé aussi dans son travaille et dans sa famille. Je rappelle que nous avons pleuré ensemble. Le parti de Nenni et de Morandi était financièrement à la charge du parti communiste. Au début des années ’70 De Martino et Mancini, secrétaires (un après l’autre) du parti, engageaient Martuscelli, magistrat en congé, comme président des « probiviri » (comité de juges du parti) au but de éloigner, même sans motivations, les « matteottini » encore vivants. Je dis « engageaient » parce que les deux secrétaires avaient lui promis le siège de Salerno pour le sénat en échange de ce travail sal. Mais les deux secrétaires trahirent la promise et Martuscelli, soi sentant trompé, révéla tout à plusieurs journaux italiens, y compris le « Corriere della Sera » qui, dans son archive, maintient sûrement cette documentation. Il n’y a qu’à la lui demander. Ce pendant les oppressions contre les « matteottini » étaient sans fin. Je ne peux que remercier l’Université du Michigan pour avoir nous rappélér. Je prierai enfin l’Université, pour la verité historique, d’adjoindre au livre ce blog et la citée Communication n.10. Et je remercie avec tout mon cœur.